Retour de la vaccination anti COVID-19
Le gouvernement veut encore nous tuer ?
Depuis quelques semaines, des agents vaccinateurs sillonnent certains quartiers de ville et les campagnes de notre pays. Ils ont pris d’assaut des arrondissements de certaines communes que ce soit au nord ou au sud du Bénin pour administrer à la population le vaccin anti-covid-19. Pour la réussite de cette mission, des chefs de quartiers ainsi que des Organisations non gouvernementales (ONG) sont mis à contribution. Des délégués de quartiers associés à la besogne donnent des consignes aux crieurs publics qui sonnent la mobilisation pour rassembler afin de faire vacciner les habitants. En surfant sur la misère, la faim et la pauvreté ambiantes, dans certaines régions, on demande aux gens de se faire vacciner pour avoir « des moustiquaires imprégnés » et dans d’autres on procède à la distribution de l’argent. Mais, on constate, avec l’absence de communiqué officiel de la part du gouvernement, qu’il s’agit d’une reprise de la vaccination anti-covid-19.
En effet, dans les villages et quartiers de la Commune de Houéyogbé de la période allant du 8 au 14 mai 2023, les gens ont été rassemblés pour des séances de vaccination. A ceux qui ont accepté de se faire inoculer le dangereux vaccin, on offre à chacun, un billet de 1.000FCFA. A Cococodji dans la Commune d’Abomey-Calavi, le jeudi 25 mai 2023, ce sont les mêmes scènes qui se sont déroulées. Ici, on délivre des cartes aux personnes vaccinées pour aller retirer des moustiquaires. Dans les départements de la Donga, de l’Alibori, de l’Ouémé, la population est victime des mêmes mesures. Il en a été ainsi dans les communes d’Avrankou, d’Akpro-Missérété, d’Adjarra, etc. Même scénario à Djougou, à Malanville où il y a eu des séances de vaccination.
Tout ceci se passe au Bénin après et malgré l’annonce de l’OMS selon laquelle la vaccination anti-Covid.19 n’est plus une urgence sanitaire de portée internationale. C’est ce qui a été annoncé le vendredi 5 mai 2023 par le Directeur Général de l’OMS, Monsieur Tedros Adhanon Ghebreyesus dans son point de presse avec les journalistes. On ne comprend pas pourquoi c’est après cette sortie de l’OMS qui annonce la fin de l’urgence sanitaire du vaccin anti-Covid.19 qu’une nouvelle campagne de vaccination anti-Covid est relancée dans notre pays. Et cette situation appelle à se poser des questions.
D’où viennent alors l’opportunité et l’urgence de cette vaccination ? Comment ces vaccins sont-ils stockés et conservés lorsqu’on sait que leurs temps de conservation sont de courtes durées ? On est droit de se poser ces questions parce que le vaccin anti-Covid.19 imposé aux populations, continue d’être contesté dans le monde pour son inefficacité et ses effets nocifs et mortels avérés. Et c’est justement pour ces raisons que des procès en justice en cours contre les décideurs et fabricants après des milliers de plaintes contre eux pour leurs crimes. Par exemple, en Allemagne le laboratoire BioNtech qui a développé avec l’américain Pfizer, l’un des principaux vaccins contre le Covid-19, est poursuivi par la justice, après le dépôt de centaines de plaintes qui exposent le lien de causalité entre cette vaccination et le développement des maladies graves et mortelles (AVC, thromboses, gonflement des extrémités, épuisement, fatigue et troubles du sommeil). Le jeudi 12 juin 2023 pour la première fois, ce laboratoire a comparu devant les tribunaux.
Dans le même ordre d’idées, les hommes et les femmes qui ont été suspendus dans leurs emplois (publics comme privés) pour avoir refusé qu’on leur injecte ce vaccin mortel sont réhabilités. Ainsi, que ce soit en Italie, en Allemagne, en Espagne, en Belgique, en France, au Royaume-Uni, etc. les agents de santé (les aides-soignants, les infirmiers et infirmières, les médecins, etc.) et autres personnels qui ont opposé un non catégorique à la prise de vaccin anti-covid-19 et ont été licenciés pour ces diverses raisons ont repris leur travail. La justesse de leur refus et de leur accusation de vaccin criminel est ainsi reconnue.
Si les fabricants du vaccin sont poursuivis par la justice pour crime, pourquoi alors chez nous le pouvoir de Talon persiste à faire vacciner la population ? On se demande si pendant que les laboratoires répondent devant la justice, ils continuent de fabriquer le vaccin spécialement pour le Bénin. Et c’est pour quel but ? Quelles sont les intentions que cache cette nouvelle campagne de vaccination par le Gouvernement ? Est-ce le chemin que veut emprunter le pouvoir de Talon pour commencer à réduire la population avant la limitation des naissances ?
En tout cas, il apparaît que le Gouvernement de Talon, pendant qu’il ne cesse d’asphyxier les Béninois par la faim, la misère, les taxes et les impôts, recourt à la vaccination criminelle anti-Covid qui n’est plus une urgence sanitaire. Ce crime de masse, la population béninoise ne pourra pas l’accepter.
Afi Tossou
Téléchargez La Flamme N°506 ici:
https://www.la-flamme.org/images/La_Flamme_N506_du_16_Juin__2023.pdf