Editorial
La lutte véritable contre la corruption n’est possible qu’avec une gouvernance patriotique et démocratique déclinée par Philippe Toyo Noudjènoumè.
Patrice Talon, après huit ans au pouvoir avec une gestion opaque et de pillage du bien public, installe un Haut-commissariat à la prévention de la corruption. Le monde entier perçoit ce Haut-commissariat comme une farce de mauvais goût de la part d’un pouvoir dont l’opacité constitue la règle première de gestion, où donc, les salaires des ministres restent un secret, aucun contrat de domaine public, signé dans la plupart des cas de gré à gré, n’est accessible au citoyen, où le patrimoine de l’Etat est accaparé par le clan au sommet pendant que les citoyens sont dépossédés de leur patrimoine immobilier à des fins privées.
Cette farce, indique par conséquent la faillite complète du pouvoir de Talon qui cherche désespérément des éléments de sauvetage de son système autocratique.
Cette farce met en lumière la gestion à livre ouvert proposée par le Président Philippe Toyo Noudjènoumè qui a décidé dans son programme de gouvernance patriotique et démocratique « l’instauration des structures du personnel et des usagers dans les grandes administrations et entreprises publiques en charge du contrôle citoyen sur la gestion du bien public et l’usage de l’argent public, avec possibilité de l’élection et la révocabilité des DG et des directeurs techniques des entreprises publiques ».
Les possibilités d’une gestion de probité du bien public et par conséquent de prévention et de de lutte véritable contre la corruption se trouvent dans le combat pour mettre fin au système autocratique de Talon et dans les perspectives de la gouvernance patriotique et démocratique déclinée par Philippe Toyo NOUDJENOUME.
La Rédaction