Tracasseries pour l'obtention de droit Taxi aux Zemidjans
À quel jeu joue la mairie de Cotonou ?
Dans la semaine du lundi 10 au lundi 17 octobre 2022, le treizième arrondissement de Cotonou sis à Gbèdégbé à côté de l'église catholique peine à prendre les demandes de délivrance des droits taxis aux zemidjans qui venaient pour effectuer le dépôt. À certains Zemidjans, ils disaient que les fiches sont terminées et à d'autres ils disent que celui qui doit signer n'est pas là. C'est ce à quoi on a pu assister durant toute la semaine écoulée. Et pendant ce temps, la police municipale qui est chargée de contrôler le droit Taxi n'entend pas reculer. Mais de l'autre côté de l'arrondissement, si on leur pose la question de savoir s'ils demandent aux policiers municipaux de reporter leur répression : Ils répondent "Oui"; comme ce que la dame chargée de remplir le droit Taxi, a confié à un conducteur zemidjan : << on ne peut pas les laisser continuer>>. Mais malgré cela, les policiers ne font pas amende honorable pour laisser les Zémidjans tranquille. Ils ont continué d’arrêter des motos jusqu'au petit matin de ce lundi 17 octobre. Tôt à Okpè Oluwa sur le carrefour allant vers la Direction de l'Office du Bac. Quand on t’arrête, tu es tenu de venir avec le droit Taxi en plus des frais de fourrière auxquels ils ajoutent mille cinq francs (1500F) comme frais de fourrière du casque même si entre temps tu n'avais pas de casque sur la moto.
Finalement à quel jeu joue la mairie ? Joue-t-elle à aider à faire de nous Zémidjans des gibiers pour la police ?.
Dine F.