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COMMUNIQUE
A PROPOS DES ELUCUBRATIONS LIBERTICIDES DE TOBOULA AU SUJET DES MARCHES
Le préfet Modeste Toboula, après les échecs retentissants à empêcher les marches pacifiques de protestation contre son patron Talon à Cotonou, a pris et publié à ce sujet un arrêté en date du 09 mars 2018. Cet arrêté n° 8/0083/DEP-LIT/SG/SP portant condition de recevabilité des déclarations de marche et autres manifestations publiques à caractère revendicatif dans le département du Littoral prescrit :
« Article 1er : les déclarations de marche ou de manifestation publique à caractère revendicatif, tels que les sit-in ou meeting, déposées à la Mairie de Cotonou ou à la préfecture de Cotonou ne sont recevables que si, auxdites déclarations, sont joints les récépissés d’enregistrement des organisations qui en sont auteurs.
Lire la suite : LE FSP REJETTE L'ARRETE LIBERTICIDE DU PREFET TOBOULA
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JOURNEE NATIONALE D’ACTION DU FSP
COMMUNIQUE DE PRESSE
Ce jour 9 mars 2018, s’est déroulée sur toute l’étendue du territoire national, une grande journée de colère contre le pouvoir mafieux et affameur de Patrice Talon. Il a été donné à tout observateur de constater qu’il s’est agi d’une journée intense et instructive de la réalité sociale et politique au Bénin.
1- Une grande mobilisation de colère dans tout le pays contre le pouvoir de Talon
Tôt ce matin, les travailleurs, la jeunesse, les femmes ont pris d’assaut les rues dans toutes les principales villes du Bénin. A Porto-Novo plus de 12.000 manifestants ont sillonné les principales artères de la Capitale, avec des arrêts devant le siège de l’Assemblée nationale pour déboucher sur la place Dè Toffa en criant tout au long leur rejet de la politique de Talon et de Houngbédji
Lire la suite : FSP: MARCHE DU 09032018 CONTRE LE REGIME TALON
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DECLARATION
A PROPOS DE LA MARCHE DES FEMMES ALLANT A LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
Le 12 février, des femmes à l’appel de Thérèse WAOUNWA responsable du CONARAB et de Mathurine SOSOUKPE du MFLPP ont décidé d’une marche pacifique pour le 20 février 2018 pour aller à la Présidence de la République dire au Président Patrice TALON la gravité et l’ampleur de la faim et de la désolation dans les foyers au Bénin.
Toutes les formalités ont été faites. Mais ce jour 20 février au petit matin, les artères donnant accès à la Bourse du Travail, lieu de rassemblement, ont été prises d’assaut et barricadées par les forces de l’ordre, sans égard aux travailleurs et aux milliers d’élèves des nombreux collèges de la zone.
Lire la suite : LE FSP SALUE LA MARCHE DES FEMMES SUR LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
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POINT DE PRESSE
Cotonou, Bourse du Travail, le 28 février 2018
A propos de quelques éléments de l’actualité politique
Mesdames et Messieurs les journalistes,
Camarades et chers amis,
Nous avons pris l’habitude de rendez-vous réguliers avec vous à propos de l’évolution de la situation sociale et politique nationale. Ainsi, notre dernier rendez-vous, le 05 février 2018, nous a permis de nous prononcer sur la révolte des populations et propriétaires terriens du périmètre aéroportuaire de Glo-djigbé, le scandale des salaires politiques pendant que l’on fait serrer la ceinture au peuple, le quadrillage policier le 30 janvier 2018 en prévision du procès de Laurent METONGNON et enfin à propos de la violation par le pouvoir des décisions de la Cour constitutionnelle.
Lire la suite : LE FSP FAIT LE POINT DE LA SITUATION SOCIO POLITIQUE AU BENIN
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POINT DE PRESSE
Cotonou, Chant d’oiseaux, le 05 février 2018
Mesdames et Messieurs les journalistes,
Camarades et chers amis,
Depuis la marche du 23 janvier 2018 où les manifestants ont eu à faire échec à la provocation du préfet Toboula, le FSP n’a pas eu l’occasion de s’entretenir avec vous sur divers éléments qui ont défrayé l’actualité nationale. On peut retenir la révolte des populations et propriétaires terriens du Périmètre Aéroportuaire de Glo-Djigbé, le scandale des salaires des ministres et des membres de leurs cabinets, la journée du 30 janvier 2018 (jour prévu pour le procès de Laurent METONGNON et ses co-accusés) et l’encerclement policier du palais de Justice de Cotonou, les violations de la Constitution et enfin les tentatives de déstabilisation de la Cour constitutionnelle par le pouvoir en place.