Procès Gbagbo ou le procès de la honte et de l’humiliation de l’Afrique
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Procès Gbagbo ou le procès de la honte et de l’humiliation de l’Afrique
Après plus de 4 ans d’instruction, le procès Gbagbo s’ouvre le 27 janvier 2016 à la Haye. L’ex- Président Laurent Gbagbo et l’ancien ministre Charles Blé Goudé sont accusés par la Cour Pénale Internationale (CPI) de crime contre l’humanité, de meurtres, de viol, etc. dans le cadre de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire en 2011.
Dès l’ouverture du procès, bon nombre de personnes physiques et morales dont des organisations de la société civile jubilent et acclament. Le procès Gbagbo serait la preuve d’une justice internationale en marche, etc. Loin de nous l’idée de nier les atrocités qu’on peut reprocher au camp Gbagbo et en conséquence les réparations dues aux victimes.
Procès Gbagbo ou le procès de la honte et de l’humiliation de l’Afrique
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Procès Gbagbo ou le procès de la honte et de l’humiliation de l’Afrique
Après plus de 4 ans d’instruction, le procès Gbagbo s’ouvre le 27 janvier 2016 à la Haye. L’ex- Président Laurent Gbagbo et l’ancien ministre Charles Blé Goudé sont accusés par la Cour Pénale Internationale (CPI) de crime contre l’humanité, de meurtres, de viol, etc. dans le cadre de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire en 2011.
Dès l’ouverture du procès, bon nombre de personnes physiques et morales dont des organisations de la société civile jubilent et acclament. Le procès Gbagbo serait la preuve d’une justice internationale en marche, etc. Loin de nous l’idée de nier les atrocités qu’on peut reprocher au camp Gbagbo et en conséquence les réparations dues aux victimes.
L'INIREF FÊTE LA JOURNÉE MONDIALE DE LA LANGUE MATERNELLE;
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L'INIREF FÊTE LA JOURNÉE MONDIALE DE LA LANGUE MATERNELLE;
L'Iniref commémore le 21 février, journée mondiale de la langue maternelle jumelée à la Fête des Peuples du Bénin dans un contexte marqué par le risque d'une recolonisation du pays à combattre absolument.
L'UNAPEEB COMMEMORE LE 21 FEVRIER 2016
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IL URGE QUE NOS LANGUES NATIONALES SOIENT DES LANGUES D’INSTRUCTION ET D’ADMINISTRATION DANS LEUR TERROIR
Le 21 février 2016 prochain c’est la Journée Internationale de la Langue Maternelle. Et le monde entier célébrera cette journée et rappellera la nécessité que les langues maternelles soient des langues d’instruction et d’administration et utilisées sur l’internet comme prescrit par l’UNESCO.
Les autorités de notre pays vont nous abreuver encore une fois de discours avec des promesses sans lendemain. Elles nous présenteront un bilan falsifié de l’expérience de l’instruction dans six langues nationales si elles osent livrer ce bilan. Les problèmes qui ruinent l’Ecole au Bénin sont connus, recensés. Il suffit de voir les actes du colloque sur « l’école au Bénin », organisé par la Convention Patriotique de Forces de Gauche à l’occasion de la célébration de la journée du 21 février, Journée Internationale de la Langue Maternelle à Cotonou, ISBA, le 21 février 2013 dont le thème est : LA RUINE DE L’ECOLE AU BENIN : POURQUOI ET COMMENT EN SORTIR ? » ou les actes des 1er et 2ème Forum national sur le secteur de l’éducation organisés par le gouvernement du Bénin.
LE PCB DISQUALIFIE LES COMPLOTEURS
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A PROPOS DU BALAYAGE DU COS-LEPI DE AHOUANVOEBLA
LES COMPLOTEURS APATRIDES YAYI-HOUNGBEDJI-Léhady SOGLO SONT A JAMAIS DISQUALIFIES POUR GOUVERNER LES INSTITUTIONS DU PAYS.
Par décision Dcc 16-044 du 11 février 2016, la Cour Constitutionnelle a sorti « impérativement et immédiatement le COS-LEPI du processus de production et de distribution des cartes d’électeur ».
Cette décision fait suite à une autre par laquelle la Cour Constitutionnelle, constatant l’impossibilité de fait d’avoir à temps les cartes d’électeurs, avait autorisé l’utilisation simultanée des anciennes et des nouvelles cartes, avec tous les risques évidents de fraude et de tripatouillages qui en découlent.
La faillite et l’incompétence du COS-LEPI étaient si évidentes que la Cour Constitutionnelle ne pouvait qu’entendre la clameur publique qui poursuivait ce comité et son chef AHOUANVOEBLA. C’est chose faite et l’on peut dire que ce n’est pas trop tôt. Mais AHOUANVOEBLA et son équipe ne sont pas les seuls fautifs ; ils étaient en mission.