Mini-sommet de la CEDEAO à Abuja au Nigéria Mission de bons offices ou mission pour les maîtres impérialistes ?
- Détails
Mini-sommet de la CEDEAO à Abuja au Nigéria
Mission de bons offices ou mission pour les maîtres impérialistes ?
Le 18 juillet 2023 à Abuja en République fédérale du Nigeria, s’est tenu un mini-sommet des Présidents de la CEDEAO. Y ont pris part, les Chefs d'État et de Gouvernement suivants : Bola Ahmed Tinubu, de la République Fédérale du Nigéria ; le Général Umaro Sissoco Embalo de la République de Guinée-Bissau; Patrice Talon de la République du Bénin ; Mohamed Bazoum de la République du Niger. Il y avait aussi M. Omar Alieu Touray, Président de la Commission de la CEDEAO. Du communiqué publié à l’issue de ce mini-sommet, on peut retenir :
« S'agissant de la situation politique dans l'espace CEDEAO, les dirigeants ont :
Correspondance à propos de la base militaire française au Bénin L’ambassadeur Marc VIZY entretient la diversion
- Détails
Correspondance à propos de la base militaire française au Bénin
L’ambassadeur Marc VIZY entretient la diversion
DEFINITION D’UNE BASE MILITAIRE :
Une base militaire est un site - terrains, bâtiments, équipements - voué aux besoins des armées et géré par les militaires qui généralement y logent et y travaillent en dehors des opérations extérieures. En vertu d'accords entre États, certaines grandes puissances disposent de bases en dehors de leurs frontières. Les bases militaires sont les points de coordination et de départ des interventions des armées. (Wikipédia)
J’ai lu dans les réseaux sociaux une interview que Marc Vizy, Ambassadeur de la France près le Bénin a accordée à Bip radio le 14 juillet 2023 au sujet de la présence des bases militaires au Bénin.
A propos de la corruption établie du pouvoir de la Rupture Le porte-parole du gouvernement se mélange les pédales
- Détails
A propos de la corruption établie du pouvoir de la Rupture
Le porte-parole du gouvernement se mélange les pédales
Le dimanche 09 juillet 2023, le porte-parole du gouvernement Wilfried Léandre Houngbédji monte au créneau pour apporter des clarifications au sujet des détournements des centaines de millions de francs à la Société Béninoise de l’Énergie Electrique (SBEE) qui défraient la chronique depuis un moment.
A ce sujet, devant les chaines de radios et télévisions il déclare : « Au jour d’aujourd’hui, moi je ne connais pas de dossier de SBEE. Le gouvernement n’a pas connu de dossier SBEE ; c’est la presse ou les réseaux sociaux qui disent qu’on a trouvé 300 millions, on a trouvé 800 millions ; au jour d’aujourd’hui, en tout cas je n’ai pas eu un tel rapport ; moi, je n’ai pas une telle information ;… ceux qui affabulent ou ceux qui inventent des faits, il leur appartiendra d’apporter les preuves ». Autrement, ni le gouvernement de Talon, ni son porte-parole ne connaissent pas, à la date du 09 juillet, de dossiers de malversations à la SBEE.
Réforme de la gestion foncière au Bénin Bureaucratie et taxes prohibitives pour écraser le paysan propriétaire
- Détails
Réforme de la gestion foncière au Bénin
Bureaucratie et taxes prohibitives pour écraser le paysan propriétaire
Depuis quelque temps, l’inquiétude court dans l'opinion nationale en ville et surtout à la campagne qu'à partir du 14 août 2023, l'Etat arrachera les terres aux propriétaires terriens qui ne possèdent pas de titre de propriété, notamment l'Attestation de Détention Coutumière (ADC). A l’approche de cette date, dans les villages, l'inquiétude est grande, les populations paysannes sont affolées. De partout, ça grogne.
Editorial de La Flamme N°511 du 21 juillet 2023: Halte à la réforme foncière qui écrase le paysan propriétaire
- Détails
Editorial
Halte à la réforme foncière qui écrase le paysan propriétaire
A la faim et à la misère qui écrasent les populations, le pouvoir de Talon ajoute un nouveau fléau : celui de la mise en œuvre d’une réforme foncière. Le pouvoir de Talon prescrit que désormais, après le 14 août 2023, toute vente de terrain n’est possible qu’avec la détention d’un titre foncier. La grande majorité des détenteurs de terrains, les paysans sont ainsi privés des possibilités de recours d’urgence à leur essentiel objet d’épargne, la terre, pour faire face aux coups durs de la vie. Au présent douloureux s’ajoute un avenir sans issue pour le petit propriétaire.