PARTI COMMUNISTE DU BENIN (P.C.B)

01 B.P. 2582 Recette Principale Cotonou (Rép. du Bénin)

Tél. :21 30 03 22/97 98 35 65 – Site : www.la-flamme.org 

LA DECLARATION DE MARIE-ELISE GBEDO SUR LES MAGISTRATS EST INACCEPTABLE.

L’opinion publique nationale et internationale a suivi avec ébahissement le 08 décembre dernier les propos de Marie Elise Gbèdo, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice : «La justice de mon pays est corrompue. Tous les juges de mon pays sont corrompus». Une telle déclaration pour le moins stupéfiante surprend à plusieurs points de vue.

Premièrement parce qu’elle provient du ministre qui a en charge la justice et en particulier la gestion des magistrats et qui dispose à cet effet des moyens d’action pour agir. Si comme elle le déclare, elle est à la tête d’un ministère dont elle « a honte », l’on pourrait se demander pourquoi elle y est allée et pourquoi elle y est encore.

 


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A PROPOS DE L’INTERDICTION PAR LA HAAC DU JOURNAL "LE BENINOIS LIBERE" : L’ARBITRAIRE AUTOCRATIQUE EN ŒUVRE.

Pour avoir écrit, à propos des chefs d’Etat de la Côte-d’Ivoire, du Niger, du Burkina-Faso, du Togo venus chez leur homologue du Bénin, Boni YAYI « ressusciter » le Conseil de l’Entente, qu’ils sont mal élus et mafieux, le journal "Le Béninois Libéré" s’est vu interdit par l’instance de régulation de la presse Haute Autorité de l’Audio-visuel et de la Communication (HAAC) et ses responsables interdits d’exercice de la profession.

La HAAC se substitue à la Justice pour prononcer l’interdiction d’un organe de presse pour son opinion. Or, aucun texte ne l’autorise à le faire. Chargée de la régulation, la HAAC ne peut prononcer que des sanctions limitées et s’en remettre à la Justice dans les autres cas.

 

 

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Commémoration du 11 décembre 1989

INVITATION :

- A tous les démocrates et patriotes,

- A tous ceux dont les aspirations de dignité, de patriotisme et de probité au sommet de l’Etat restent inassouvies,

Bientôt 22 ans que le 11 décembre 1989, le peuple de Cotonou, capitale économique et siège du gouvernement, s’est soulevé dans une manifestation gigantesque de rue pour dire NON ! au règne barbare de Kérékou-PRPB.

Cette manifestation fait suite à de nombreuses protestations ouvertes ininterrompues démarrées un an plus tôt en décembre 1988 par les grèves des fonctionnaires et qui se sont prolongées toute l’année 1989. Avant ces mouvements, toute manifestation autonome des masses était interdite sauf les louanges à l’autocrate Kérékou et à son régime : pas de liberté de parole, de réunion, d’association, de manifestation, de marche, de presse, de grève. Même les libertés de conscience et de culte étaient limitées. Toute personne qui enfreignait ces interdictions était sauvagement réprimée par les arrestations, les emprisonnements et les tortures ou l’exil forcé. Pour imposer un tel régime, Kérékou avait prononcé la dissolution des organisations de jeunes, mis sous tutelle les syndicats, envoyé les responsables protestataires dans des camps de concentration. Il a promis marcher sur des cadavres et il l’a fait. Il a ordonné de tirer à vue sur tout manifestant et cela a été fait.

 

 

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LE PCB PROTESTE CONTRE LA DEPORTATION DE LAURENT GBAGBO A LA HAYE

Selon le quotidien "La Nation" en date de ce jour 30 novembre 2011 rapportant l’AFP, « Le procureur a notifié un mandat d’arrêt international au Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo. Il va s’agir de le transférer à la Haye, je ne sais pas quand, ça peut être aujourd’hui, demain au plus tard » (sic). Ainsi, ce jour mercredi, deux jours après l’audition qui a débuté le lundi 28 novembre et dix jours avant les élections législatives auxquelles le parti de Laurent Gbagbo, le FPI a décidé de ne pas participer, les puissances étrangères qui ont agressé la Côte d’Ivoire, bombardé le Palais présidentiel et ont réduit le pays en un protectorat, sous mandat de l’ONU, transformée en agence de couverture des agressions et de recolonisation des pays pauvres, notamment ceux d’Afrique, les puissances étrangères déportent l’ex chef d’Etat avec la complicité de celui qu’on ne peut pas ne pas qualifier de pantin des puissances étrangères, Alassane Ouattara.

La Flamme N° 301 Edition papier disponible en ligne

La livraison N° 301 de l'édition papier de votre journal La Flamme vient de paraître.

La rédaction a le plaisir de la rendre accessible aux lecteurs de La Flamme en ligne (sur Internet).

Elle est visualisable en cliquant sur le lien suivant : La Flamme N°301.