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S’organiser contre la guerre d’agression impérialiste du Niger pour la sécurité, le pain et les libertés au peuple
Le rejet par le peuple béninois tout entier de la guerre d’agression de l’impérialisme notamment français contre le Niger s’organise. Tous ceux qui rejettent les projets et provocations de guerre contre le peuple frère du Niger ont désormais un cadre, le Front patriotique, pour fédérer leurs energies. Les fauteurs de guerre, malgré la désaprobation générale des peuples d’Afrique, du Niger et des progressistes du monde entier, la France et son président, Emmanuel Macron n’ont pas renoncé à leur projet funeste. Ils poursuivent des provocations et des actes de guerre contre le Niger et ses citoyens, indiquant au monde entier que la « généreuse France » ne veut que des africains soumis à elle.
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Editorial
Vive le Front Patriotique contre la Guerre au Niger !
Déjà mis à nu par sa hargne contre les décisions patriotiques de souveraineté et de dignité des pouvoirs de transition au Mali et au Burkina Faso, la France néocoloniale, par sa folie guerrière contre le peuple du Niger s’est complétement montrée, aux yeux de toutes les générations africaines comme ennemi forcené des peuples africains. Il ne s’agit nullement de l’opposition à un coup d’Etat, comme l’a montré celui orchestré par cette même France au Gabon le 30 août dernier, ni du rétablissement d’un ordre constitutionnel.
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LA GUERRE DE L’IMPERIALISME FRANÇAIS CONTRE LE NIGER
S’OPPOSER PLUS QUE JAMAIS A TOUTE AGRESSION CONTRE LE PEUPLE FRERE DU NIGER
Depuis le renversement du pouvoir de Mohamed BAZOUM au Niger à travers le coup d’Etat militaire du 26 juillet 2023, l’impérialisme français et ses agents de la CEDEAO ne savent plus où donner de la tête. Très vite, l’impérialisme français a instruit ses agents et pantins de la CEDEAO à prendre des mesures criminelles, illégitimes et barbares contre le peuple nigérien. Ainsi, toutes les transactions financières sont bloquées ; l’importation de vivres et surtout de médicaments pour les enfants surtout est interdite et toutes les frontières fermées, alors que le Niger est un pays enclavé qui n’a pas accès à la mer. De l’autre côté, l’impérialisme français qui a une base militaire contenant un contingent de près de 1500 soldats, avec des avions de combat, des drones tueurs etc., déclare gaillardement qu’il est prêt à soutenir toute action militaire pouvant rétablir dans ses fonctions, son agent Mohamed BAZOUM. Voilà pourquoi, en plus des mesures inhumaines énumérées plus haut, les pantins de la CEDEAO ont donné un ultimatum aux dirigeants nigériens en laissant entendre que si ces derniers ne s’exécutent pas, « tous les moyens seront utilisés contre eux. »
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Editorial
S’OPPOSER PLUS QUE JAMAIS A TOUTE AGRESSION CONTRE
Depuis le coup d’Etat au Niger le 26 juillet 2023 et le renversement de l’agent de la FrançAfrique Mohamed BAZOUM, l’impérialisme français remue ciel et terre pour rétablir ce dernier au pouvoir. Pour ce faire, il s’appuie sur les chefs d’Etat traitres de la CEDEAO (dont le Président Talon du Bénin) pour étouffer le peuple nigérien. Blocus économiques du pays, interdictions d’importer nourritures, médicaments ; suspension de la fourniture d’électricité, etc.
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La Révolution patriotique en œuvre en Afrique
Le coup d’Etat survenu au Niger fin juillet 2023 aura révélé la nature profonde du mouvement social en cours ces dernières années en Afrique de l’Ouest. L’antagonisme entre les aspirations des peuples et les intérêts de l’impérialisme français dominant et pilleur a montré son acuité. Si les néo-colons français avaient montré leur agacement et dissimulé leur acte de guerre contre les gouvernements issus des putschs au Mali et au Burkina, le coup d’Etat au Niger les a fait sortir de leurs gongs. Le président français, Emmanuel Macron, en liaison avec ses agents de la FrançAfrique, a déclaré la guerre ouverte contre le gouvernement militaire et le peuple nigériens. Cette guerre a commencé par des mesures de blocus commerciaux, financiers, économiques contre ce pays enclavé, allant jusqu’à l’embargo sur les médicaments et la nourriture des enfants et des malades.
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