Érection des murailles de granites entre des villages frontaliers Bénin-Togo Cas d'Aplahoué
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Érection des murailles de granites entre des villages frontaliers Bénin-Togo
Cas d'Aplahoué
Depuis quelques mois, le Président Talon fait fermer les voies entre les villages frontaliers du Bénin et du Togo du Nord au Sud. Après les cas de Bassila, Boukoumbé, Tchèti, Kprèkètè, c'est le tour des villages frontaliers du Bénin avec le Togo à Aplahoué.
Hôpital de Zone de Calavi Le calvaire des nourrices et des nouveau-nés
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Hôpital de Zone de Calavi
Le calvaire des nourrices et des nouveau-nés
Il faut réfléchir mille fois aujourd’hui avant d’envoyer sa femme se faire accoucher à l’hôpital de zone de Calavi. Il suffit simplement d’y faire un tour pour constater tout le traitement inhumain que les parturientes subissent dans cet hôpital qui n’est pas parmi les moindres dans notre pays.
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Crimes lors de la répression des usagers de la route TALON et Soumaila YAYA comptables.
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Crimes lors de la répression des usagers de la route TALON et Soumaila YAYA comptables.
Depuis le 1er mars 2024, le Gouvernement de Patrice TALON appuyé par la Police Républicaine a mis en exécution sa mesure portant répression des usagers de la route au motif de violation des codes de la circulation. A l’annonce de la mesure, les autorités de la Police Républicaine promettent la souffrance aux usagers de la route.
Poursuite des luttes des enseignants Sit-in de la FéSEN/CSTB au MESTFP
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Poursuite des luttes des enseignants
Sit-in de la FéSEN/CSTB au MESTFP
Cette après-midi du mercredi 20 Mars 2024, la Fédération des Syndicats de l'Education Nationale (FéSEN/CSTB) a organisé un sit-in au Ministère de l'Enseignement Secondaire, de la Formation Technique et Professionnelle -MESFTP- (MESFTP choisi pour représenter l’ensemble des ministères des 3 ordres d’enseignement). Les enseignants de tous ordres et de toutes catégories étaient représentés à ce sit-in. Que ce soit ceux du primaire et de la maternelle avec à leur tête le SG/SYNAPRIM (Syndicat National des enseignements Publics Primaire et Maternel) que ceux du secondaire avec le SG/SYNECLOS (Syndicat National des Enseignant des Collèges et Lycées….) On remarque également une forte délégation des AME.
Ces enseignants mobilisés étaient venus crier leur ras-le-bol par rapport à leurs mauvaises conditions de travail et de vie. Déjà le jeudi 07 Mars 2024, ils étaient en grève d’avertissement de 24h. Dans leur plateforme revendicative, l’un des points les plus importants est le reversement de tous les AME en ACDPE. Pour eux, c’est la seule manière de diminuer considérablement la souffrance de cette catégorie d’enseignants qui rassemble plus de 30.000 de nos compatriotes. Notons ici que le lundi 18 Mars le gouvernement a pris cinq mesures en faveur des AME. Parmi ces mesures se trouve la réintégration des 175 AME radiés en 2021 pour avoir réclamé le paiement de 12 mois sur 12 de salaire. Cette réintégration et leur indemnisation par le paiement des rappels a toujours été pour la FéSEN/CSTB une revendication capitale depuis leur radiation.
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Divers combats populaires contre la faim, les brimades Seule la lutte paie
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Divers combats populaires contre la faim, les brimades
Seule la lutte paie
Depuis quelques temps, plusieurs composantes du peuple, dépassées par la faim planifiée, les actes de répressions dans les rues de la part du pouvoir de Patrice Talon, manifestent en dépit de tout et de diverses manières.
On note des luttes des travailleurs des collectivités locales, on note celles du secteur de l’éducation et des révoltes des populations contre la faim, les brimades, les injustices de tous genres. Elles suscitent l’adhésion et l’admiration de toutes les couches populaires. Les manifestations contre la dégradation accrue des conditions de vie et de travail dans plusieurs secteurs d’activités commencent par avoir leur fruit. Ainsi, tout le personnel de la municipalité de Gogounou, agents administratifs et de service à qui on doit des mois de salaires et des reliquats de salaires, indemnités de risque, ont, le lundi 11 mars 2024 par une grève générale, paralysé les activités. Le pouvoir échoue dans ses tractations de contenir le mouvement et se trouve obligé, contraint de satisfaire leurs revendications. Dans une circulaire conjointe, le ministre des finances et celui de la décentralisation ont annoncé la légitimité de la revalorisation des salaires aux agents des collectivités locales. La lutte a payé et il revient aux agents d’exiger la prise en charge de cette revalorisation par l’Etat quel que soit le statut et les possibilités financières des communes.
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